Khalid Zaz Ziani
| Khalid Zaz Ziani | |
| Personnage réel inspiré par la fiction Dune. |
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 Emblème de la Maison Zaz (Credits : http://www.noveir.com/ ) | |
| Nom original | Khalid Zaz Ziani[a] |
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| Alias | Zaz (surnom) Le Lisan al-Kathiran (« la voix qui parle beaucoup », surnom)[1] Sensei (« Professeur », nom de guerre) Capitaine (« Celui qui est Capitaine », Grade) |
| Origine | Quelque part dans l'Univers |
| Décès | Le plus tard possible |
| Sexe | Homme |
| Espèce | Humain |
| Cheveux | Noir |
| Yeux | Marron sur traces de vert (yeux dits « de pas l’Ibad ») |
| Activité | Ami de bon conseil, Homme un peu fou, Chef de la Maison Zaz, Chef militaire et religieux de lui-même, Père Farceur |
| Caractéristique |
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| Arme favorite | Clavier et Souris, notamment ceux de son Mac |
| Pouvoirs spéciaux |
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| Adresse | Son salon (à lire Dune), anciennement sur Strasbourg |
| Famille | Père (père), Mère (mère), Première Sœur (sœur), Deuxième Sœur (sœur), Fils (fils), Fils (fils), Fille (fille), Fille (fille), Epouse (épouse consort) |
| Affiliation | L'appart du chez-lui de l'Imperium, la Maison Zaz |
| Entourage | Professeur (mentat précepteur), Professeur et encore un autre (maîtres d’arme et instructeurs), Médecin (médecin), Amis Variés (amis) |
| Ennemi de | Maison Connerie Humaine, Maison Bêtise sans Nom, Stupidité sans Fin |
| Interprété par | Zaz (1977) Zaz, Encore lui (2022) |
| Films | Mes Pensées, Moi et Moi-Même. |
| Séries | Zaz (1977) Les Enfants de Zaz (2009) |
| Première apparition | Saint-Etienne |
| Dernière apparition | Quelque part chez lui |
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Khalid Zaz Ziani (Zaz en VO) est un personnage réel de fiction issu de la réalité mais inspiré par le cycle de Dune de l'écrivain Frank Herbert. Il est le personnage principal de sa vie lors des 2 moitiés du cycle entier de ce qu'il a déjà vécu. Il est aussi un personnage secondaire dans la vie de quelques uns de ses amis proches. Son héritage continue à jouer un rôle crucial dans la suite de sa vie et de la vie de nombreux personnages non fictif de la vie réelle.
Héritier de la Maison Zaz, il est âgé de douze ans lorsque son monde est changé par les fautes d'orthographes, ennemis jurés de sa famille. Il doit alors s'enfuir dans le désert de la bibliothèque de son collège que l'on surnomme affectueusement Arrakis, où il est recueilli par les bibliothécaires, le peuple autochtone. Grâce à la Lecture, il amplifie ses dons latents de lecteur et devient le leader des lecteurs en folie dans un conflit qui l'amènera, après avoir vaincu ses ennemis, à devenir le recordman de lecture de sa classe, lançant ses légions de livre SF et Fantasy à l'assaut de la galaxie de son imagination dans une soif de savoir sanguinaire.
Durant ses prochaines années de règne, il s'efforce de diriger sa bibliothèque vers une voie ne conduisant pas à la stagnation. Frappé d'insomnie à la suite d'une pandémie mondiale, il abdique et part seul, en accord avec la tradition se réfugier sous sa couette. Il finira par se relever pour poursuivra son œuvre et deviendra plus tard Zaz lui-même, régnant sur le Sentier d'Or du couloir de son chez lui.
À son arrivée au collège du Sietch Honoré d'Urfé, il reçoit le nom secret de Zaz, signifiant « j'arrive pas à prononcer ton prénom alors je te donne un surnom ». Son nom de guerre est Sensei, le « professeur qui aimerai bien mettre les pieds au Japon », dont la silhouette apparaît dans son miroir comme tout le monde.
Biographie du personnage[modifier | modifier le code]
Zaz est le fils de son Père et de sa Maman. Dans sa biographie (écrit postérieurement à l’œuvre originale de sa vie mais pas encore couché sur du papier à l'heure où vous lisez ces mots), il est dit qu’il reçoit son premier prénom de son grand-père paternel, Son Grand-Père, et le second, secret, d'un mythe télévisuel regardé par sa Maman, le fondement de la Maison Zaz (la Science-Fiction)[2].
Zaz, né sur la planète Terre dans le palais de la Maternité Clinique du Soleil, manque de peu de naître sans la présence de son Père, son papa, le Mentat-Lecteur. Il est sauvé par l’intervention d'une Sage-Femme dont le prénom s'est perdu dans l'histoire mais à l'esprit vif qui d'un appel salvateur à la force fera revenir son Père à temps, elle sera alors payé d'une boîte de chocolat je crois.[réf. nécessaire] L'histoire ne le dit pas mais je crois qu'elle finira par devenir Révérende-Mère elle-même, allez savoir !
Quand sa Maman tombe enceinte, il lui est ordonné d'engendrer un enfant en bonne santé afin de continuer le plan de sélection génétique de l'humanité. Mais, par amour, elle enfante un garçon un peu fou, désobéissant ainsi à ses sœurs. Le jeune Zaz est élevé selon les méthodes spéciales de son ordre (la « Manière » Forte et la Discipline), sa Mère lui enseignant ses techniques secrètes, l'« Art étrange de l'Obéissance », ce qui le sauvera plus tard (notamment lors de plusieurs confrontations avec ses Parents dans le palais de leur salon, ou lorsque Zaz découvrira bien plus tard que cela ne s'applique pas tout autant à sa Petite Sœur).
Enfance à l'Âge Adulte[modifier | modifier le code]
Au début de sa Vie, Zaz, tout juste adolescent, vit chez ses Parents, la planète d’origine et la source de l’influence de la Maison Zaz. Quand son père Le Mentat-Lecteur reçoit en fief une voiture de fonction (appelée « Titine » par ses occupants), par ordre de son patron, Zaz suit sa famille dans leur nouvelle maison. Bien que très jeune, il prend alors part aux intrigues familiales complexes des Grandes Maisons aux côtés de son Père et de sa Mère , ses Parents.
Quelques jours avant le départ de sa Maison vers son école post-bac, une Révérende Mère de haut rang de sa Famille lui fait subir le test du « J'espère que tu sais ce que tu fais ? », une épreuve d’endurance à la douleur physique visant à tester sa patience. Zaz réussit le test on ne sait trop comment, mais se souviendra pendant longtemps de cette épreuve, notamment quand plus tard il rétorquera à la vieille Révérende Mère et au reste de sa Famille toute entière, une phrase qui depuis est rentrée dans la légende[3]. Du fait de ses dons (Lecteur et Mentat potentiel), la Famille décèle en lui les prédispositions d'un possible Ingénieur, l'aboutissement ultime du programme génétique des Sœurs. La Révérende Mère et les Sœurs de l'Ordre émettent cependant des réserves, car leurs plans prévoyaient que l'ingénieur devait apparaître avec les honneurs mais la confiance n'était pas au beau fixe.
Après son passage dans l'armée, lors de l'attaque surprise dans ses quartiers par ses officiers supérieurs Militaires, Zaz sera alors confronté à bien des épreuves y compris celle de devoir sauter d'un avion, plusieurs fois, avec comme seul secours un uniforme de couleur improbable accompagné d'un grand drap plié dans un sac qui lui permettra de ralentir sa chute et de survivre à l'impact imminent avec le bon vieux plancher des vaches qui l'attendait bien sagement tout en bas pour l'accueillir dans ses bras boueux.
Zaz, de manière aléatoire et spontanée, devient peu à peu adulte avec des épreuves inattendues qui l'attendent sur le chemin, que ce soit la crise du logement ou la recherche d'un emploi satisfaisant. Mais ce sont là des histoires que vous aurez l'occasion de lire dans cette biographie Apocryphe et non linéaire qui sera publiée un jour peut-être.
De Zaz à Sensei[modifier | modifier le code]
Devenu un Adulte à part entière, Zaz retrouve par hasard le soldat inconnu, un Compagnon d'Arme, l'un de ses anciens mentor et ami qui se cachait dans le désert après la ruine de la Maison Kronenbourg. Croyant celle-ci exterminée, le soldat le « guerrier-troubadour » avait pris la tête d'un groupe de basketteur, récoltant les Médailles en Chocolat sur les parquets des salles d'Alsace. Retournant immédiatement au service de son ancien disciple, maintenant le nouveau Chef de la Maison Zaz, il consolidera avec le reste de l'équipe la puissance des shoots à 3 points et ses guerriers basketteurs, l'assistant dans sa croisade pour la reconquête de la forme physique face aux adversaires du jour.
Zaz, à la tête de sa troupe de phénomènes ambulants (notamment sa garde d’élite l'équipe senior) va de victoires en victoires face à l'ennemi, usant de tactiques innovantes et de plans audacieux (conçus grâce à son éducation militaire et renforcées par ses capacités Mentat et son don de shoot). Grâce à ses victoires, Zaz force bientôt son équipe de bras cassés à monter de division plusieurs années de suite.
Zaz, prenant finalement le dessus sur les parquets alsaciens, attirant par voie de conséquence les yeux du monde entier de son quartier sur lui. Ces derniers, souhaitant régler par eux-mêmes le débit de bière de la buvette, et voulant écraser de leur chants fanatiques les hordes de supportaires qui se comptent sur les doigts d'une main qui accompagnent sans faillir leurs adversaires.
Alors dans la folie des victoires et des petites défaites inévitables mais peu nombreuses, ils continuent sur leur lancée. Ils finiront dans une victoire improbable et aléatoire par gagner un titre de champion de France FSCF lors d'une semaine épique, avec des équipes venues de l'Univers entier de la France profonde pour les affronter et les faires tomber de leur empire naissant. Mais ils y survivront et durant sa reconquête du pouvoir, et malgré les victoires qui s'enchainent, Zaz cherchera à tout prix à éviter que la buvette ne prenne le dessus, qu’il a prévu grâce à ses dons, et ne s'étende dans tout l'univers. Il finira cependant par comprendre que c'est inévitable, car cela fait partie de son destin. Devenu meneur de son équipe par la force des choses, ses légions de joueurs fanatiques du ballon orange et de la bière se lancent alors à la conquête de la multitude de salle de l'Imperium FFBB et feront flotter la bannière bleu et jaune de son Club sur tous les mondes de l'univers connu.
Du Site vers le Sentier d'Or[modifier | modifier le code]
Dans sa vie bien remplie, l'empereur de son appart Zaz, après cinq ans de règne sans partage sur son salon, a enfin un site internet digne de ce nom. La régence du webmastering est assumée par lui-même, Zaz, qui dérivera dans le tome suivant de ses aventures vers un projet sans fin.
Il y mettra tout son cœur car cela fait des années qu'il y pense. Son Sentier d'Or étant remplie de rêves et de souhaits, des inventaires de ses possessions les plus précieuses après sa famille soit ses livres et autres figurines (un projet encore en cours de gestation lors de l'apparition de ces lignes dans l'encyclopédie mondiale de l'Univers tout entier connu par ceux qui savent lire).
Rôle dans Après Maintenant[modifier | modifier le code]
Après Maintenant, la fin de l'aventure n'est pas encore annoncée. Il lui reste encore des lieux à visiter, des gens à rencontrer, des lignes de code à taper sur ce site qui ne fait que grandir, des bêtises à faire, des rires, des larmes et bien d'autres aventures encore à vivre. Car la vie n'est pas un long fleuve tranquille et comme le disait un célèbre philosophe qui aimait bien courir : « la vie c'est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber », ou un truc dans le style il me semble.
Adaptations[modifier | modifier le code]
Cinéma[modifier | modifier le code]
Zaz est interprété par lui-même dans le film Nickel, Chrome, Poilu, Indeed ! de lui-même (1977)[4] et par Zaz encore une fois dans la mini-série Les restes de sa vie (2009)[5] et sa suite C'est pas encore fini (2022)[6]. Dans la version de Zaz (2022), celui-ci est interprété par Encore Lui.
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- En langue arabe, le terme Khalid signifie « éternel ». Voir la page (en) « Zaz (1977 book): What are the origins of Khalid? Where did these words orginate from? » [archive] (consulté le 1er juin 2020).
Références[modifier | modifier le code]
- « Lisan al-Kathiran » [archive], sur ziani.me
- « Citoyens du monde, je désire que vous fassiez la connaissance de votre prochaine seigneur : Khalid Zaz Ziani ! Elle avait choisi ce nom en hommage à son ancêtre. Quant au second prénom, Elle l’avait emprunté au drame d'une série télévisuel : Secret, qui au final ne le sera jamais donné.
- « Je me souviens de vos questions, dit Zaz. N’oubliez pas les miennes. D’un mot je peux faire une discussion d'une heure. »
- Khalid Zaz Ziani, sa Naissance, « Movie Review: Zaz (1977) » [archive], The New York Times, (consulté le )
- Enfants, « COVER STORY: Future Myths, Adrift in the Sands of Time » [archive], The New York Times, (consulté le )
- Famille, « TELEVISION REVIEW; A Stormy Family on a Sandy Planet » [archive], The New York Times, (consulté le )
